Charpenterie

La Charpente , c’est notre cœur de métier, de la conception a l’assemblage, le savoir faire traditionnel des Compagnons charpentier Français, travaillant sur bois neuf ou de réemploi.

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facade
Réalisations d'une maisons en colombage de chêne
maison colombage Nevers
spiquel-charpente, maisons a colombage Bourguignonne
charpente Spiquel levage de la carcasse
charpente Spiquel levage de la carcasse
spiquel-charpente colombage bourguignonne 14
spiquel-charpente colombage bourguignonne 13
spiquel-charpente colombage bourguignonne 12
spiquel-charpente colombage bourguignonne 11
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spiquel-charpente colombage bourguignonne 8
spiquel-charpente colombage bourguignonne 7 - Copie
spiquel-charpente colombage bourguignonne 6 - Copie
spiquel-charpente facade bourguignonne
spiquel-charpente colombage bourguignonne
spiquel-charpente colombage bourguignonne2
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Shadow

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LE COLOMBAGE EST UN PAN DE BOIS RÉALISE DE FAÇON TRADITIONNELLE.

Utilisé depuis des siècles dans toute la France, chaque région possède un type de colombage qui lui est propre, souvent enduit et camouflé il est toujours présent au cœur des villes, notamment a Paris ou énormément d’immeuble sont en colombage et enduit en maçonnerie, le plus souvent en chêne ce mode de construction a fait ses preuves et rempli les cahiers des charges les plus exigeants:
– excellente résistance au feu;
– qualités thermique imbattable;
– résistance antisismique éprouvés et reconnu (notamment en alsace)
– peut être utilisé sans traitement, une pièce de chêne correctement mise en œuvre est quasi éternel, souvenez vous que la charpente de notre Dame De Paris était d’origine.
-favorisant le développement durable et nous ne travaillons que du bois Français
Chaque assemblage est exécuté à la main et chevillé au moyen d’une cheville en acacia (il est préféré aux autres essences de bois pour le chevillage, extrêmement résistant et quasi imputrescible, il est épargné par les parasites courants du bois).

L’art du trait de charpenterie regroupe les moyens graphiques en usages depuis le XIII siècle en France permettant d’exprimer par le dessin et avec la plus grande précision la réalité des volumes d’un édifice, de leur pénétrations ainsi que les caractéristiques des pièces de bois qui permettent de les composer. Il fait l’objet d’un enseignement particulier, tout à fait distinct de la théorie et de la pratique de l’architecture. Par ce procédé le charpentier peut déterminer au sol et en préfabrication toutes les pièces, aussi complexes soient elles, et, ainsi, être certain qu’au moment de la mise en place de la charpente tous les assemblages les plus complexes et les plus volumineux s’emboîtent parfaitement.1

Le compagnonnage en France a rapidement contribué à la diffusion et au développement du trait. Sa maîtrise progressive permettait d’accompagner la progression initiatique des itinérants. Faire montre d’une connaissance de plus en plus affinée du trait et de ses applications a toujours été le corollaire d’une progression morale et technique très valorisée dans les sociétés compagnonniques. Le trait aujourd’hui n’est plus le seul apanage de l’enseignement compagnonnique. Il se pratique dans certains points du territoire français, en particulier les centres de formation, lycées professionnels, mais aussi dans les entreprises dont il est parfois l’activité quotidienne.

En 2009 l’UNESCO inscrit « la tradition du tracé dans la charpente française » sur la liste représentative du patrimoine culturel immatériel de l’humanité6, après que ce savoir-faire a été inscrit à l’Inventaire du patrimoine culturel immatériel en France.